vendredi 23 octobre 2015

DOSSIER RETRAITE: Merci qui...

BON A SAVOIR:




Le Medef a conclu, vendredi 16 octobre, un « accord de principe » avec trois syndicats - la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC - afin de renflouer les régimes de retraites complémentaires Agirc-Arrco. La principale conséquence est d’allonger d’un an, à compter de 2019, la durée de cotisation nécessaire pour avoir une retraite à taux plein.



Une nouvelle fois, les salariés sont trahis par la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC. Pour partir avec leur retraite complémentaire à taux plein, ils devront travailler un an de plus. Cet accord, qui est dans la continuité de tous ceux signé par la CFDT depuis 10 ans,  établit, de fait, l’âge de la retraite à 63 ans. La principale conséquence est d’allonger d’un an, à compter de 2019, la durée de cotisation nécessaire pour bénéficier d’une retraite à taux plein.

Un retraité qui avait ainsi prévu de partir à l’âge légal, c’est-à-dire 62 ans, devra attendre 63 ans s’il veut avoir une retraite complète. Et cela même s’il a cotisé tous les trimestres nécessaires. S’il préfère partir à 62 ans tout de même, sa retraite complémentaire sera amputée de 10 % la première année et de 10 % la seconde. Une troisième année de baisse des retraites complémentaires fera l’objet d’une négociation d’ici à 2021.

 Bonne Fin de semaine ...

Le Medef a conclu, vendredi 16 octobre, un « accord de principe » avec trois syndicats - la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC - afin de renflouer les régimes de retraites complémentaires Agirc-Arrco. La principale conséquence est d’allonger d’un an, à compter de 2019, la durée de cotisation nécessaire pour avoir une retraite à taux plein.
Une nouvelle fois, les salariés sont trahis par la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC. Pour partir avec leur retraite complémentaire à taux plein, ils devront travailler un an de plus. Cet accord, qui est dans la continuité de tous ceux signé par la CFDT depuis 10 ans,  établit, de fait, l’âge de la retraite à 63 ans. La principale conséquence est d’allonger d’un an, à compter de 2019, la durée de cotisation nécessaire pour bénéficier d’une retraite à taux plein.
Un retraité qui avait ainsi prévu de partir à l’âge légal, c’est-à-dire 62 ans, devra attendre 63 ans s’il veut avoir une retraite complète. Et cela même s’il a cotisé tous les trimestres nécessaires. S’il préfère partir à 62 ans tout de même, sa retraite complémentaire sera amputée de 10 % la première année et de 10 % la seconde. Une troisième année de baisse des retraites complémentaires fera l’objet d’une négociation d’ici à 2021.
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Une nouvelle fois, les salariés sont trahis par la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC. Pour partir avec leur retraite complémentaire à taux plein, ils devront travailler un an de plus. Cet accord, qui est dans la continuité de tous ceux signé par la CFDT depuis 10 ans,  établit, de fait, l’âge de la retraite à 63 ans. La principale conséquence est d’allonger d’un an, à compter de 2019, la durée de cotisation nécessaire pour bénéficier d’une retraite à taux plein.
Un retraité qui avait ainsi prévu de partir à l’âge légal, c’est-à-dire 62 ans, devra attendre 63 ans s’il veut avoir une retraite complète. Et cela même s’il a cotisé tous les trimestres nécessaires. S’il préfère partir à 62 ans tout de même, sa retraite complémentaire sera amputée de 10 % la première année et de 10 % la seconde. Une troisième année de baisse des retraites complémentaires fera l’objet d’une négociation d’ici à 2021.
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Une nouvelle fois, les salariés sont trahis par la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC. Pour partir avec leur retraite complémentaire à taux plein, ils devront travailler un an de plus. Cet accord, qui est dans la continuité de tous ceux signé par la CFDT depuis 10 ans,  établit, de fait, l’âge de la retraite à 63 ans. La principale conséquence est d’allonger d’un an, à compter de 2019, la durée de cotisation nécessaire pour bénéficier d’une retraite à taux plein.
Un retraité qui avait ainsi prévu de partir à l’âge légal, c’est-à-dire 62 ans, devra attendre 63 ans s’il veut avoir une retraite complète. Et cela même s’il a cotisé tous les trimestres nécessaires. S’il préfère partir à 62 ans tout de même, sa retraite complémentaire sera amputée de 10 % la première année et de 10 % la seconde. Une troisième année de baisse des retraites complémentaires fera l’objet d’une négociation d’ici à 2021.
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Une nouvelle fois, les salariés sont trahis par la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC. Pour partir avec leur retraite complémentaire à taux plein, ils devront travailler un an de plus. Cet accord, qui est dans la continuité de tous ceux signé par la CFDT depuis 10 ans,  établit, de fait, l’âge de la retraite à 63 ans. La principale conséquence est d’allonger d’un an, à compter de 2019, la durée de cotisation nécessaire pour bénéficier d’une retraite à taux plein.
Un retraité qui avait ainsi prévu de partir à l’âge légal, c’est-à-dire 62 ans, devra attendre 63 ans s’il veut avoir une retraite complète. Et cela même s’il a cotisé tous les trimestres nécessaires. S’il préfère partir à 62 ans tout de même, sa retraite complémentaire sera amputée de 10 % la première année et de 10 % la seconde. Une troisième année de baisse des retraites complémentaires fera l’objet d’une négociation d’ici à 2021.
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4 commentaires:

  1. Heureusement qu'à la CGT on rase gratis et on compte sur toujours plus de taxes et de cotisation pour sauver le système! Avec de si belles idées, la France et les retraites sont sauvées, c'est sur.
    On vous souhaite de ne pas gérer votre budget familial comme vous entendez le faire sur le social, sinon le surendettement va vous tomber dessus rapidement....
    Belle leçon de démagogie en tout cas...

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    1. De quoi parlez vous Mr Anonyme?
      Ce n'est hélas qu'un constat et le fait de reporter l'age légale de départ à la retraite n'est pas une solution pour les problèmes de l'agirc et l'arrco.
      Nous ne cautionnerons jamais une perte des acquis que certains ont mis des années a gagner.
      Trouvez-vous que le report de l'age légale de départ à la retraite est la solution ?
      Il faut dire la vérité et nous continuerons à le faire pour la défense des salariés que nous représentons et continuerons à défendre.

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  2. Quelle sera la suite ?
    Savez vous que le patronat souhaite aussi obtenir une désindexation des pensions (comme en 2013). A l’époque, il a avait été décidé de revaloriser les pensions au niveau de l’inflation moins 1 point. Désormais, le Medef veut aller jusqu’à 1,5 point......

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  3. Concernant les cotisations applicables (même le MEDEF) ; si il faut vous le rappeler voilà un rappel de la définition
    Un syndicat est une association de personnes dont le but est de défendre les droits et les intérêts sociaux, économiques et professionnels de ses adhérents.En France, les syndicats se distinguent des partis politiques, bien que des liens puissent exister entre eux, car leur but n’est pas de gouverner mais d’améliorer les conditions de travail.
    La liberté syndicale a été reconnue en France par la loi dit Waldeck-Rousseau de 1884.
    Elle rompt avec la loi Le Chapelier, qui pendant la Révolution française (1791) avait interdit tout groupement professionnel.
    Le droit d’adhérer à un syndicat et de défendre ses droits et ses intérêts par l’action syndicale a été ensuite réaffirmé dans le préambule de la constitution de 1946.
    Le paysage syndical français, très fragmenté, est le fruit des luttes syndicales du XXe siècle.
    voilà pour transparence l'utilisation schématisé: http://zupimages.net/viewer.php?id=15/43/1nk7.jpg

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