lundi 23 décembre 2019

##Reforme des retraites - 05 Minutes

05 Minutes en vidéos pour comprendre pourquoi




PROCHAIN MOUVEMENT UNITAIRE 
LE JEUDI 09 JANVIER 2019 !




mercredi 18 décembre 2019

#Actualité - Retraite

 MANIFESTATION
40 000 PERSONNES A LYON CE 17 DÉCEMBRE 2019.

aucun incident majeur n'a été relevé sur LYON lors du parcours, avec plusieurs manifestants qui ont salué une ambiance bon enfant.



Décryptage de la réforme 
 
En confirmant le blocage à 14 % du PIB du financement des retraites (sa valeur actuelle) les pensions sont condamnées à décrocher avec l’accroissement du nombre de retraités (+35 % d’ici 25 ans). Contrairement aux effets d’annonce la réforme ne ferait que des perdants. 
Avec le nouveau système, fini les "trimestres" et la retraite complémentaire (Agirc-Arrco) : vous cotiserez à hauteur de 28,12 % (salarial + patronal) dès la première heure de travail.
 
  • La France ne va pas sur la capitalisation des retraites 
FAUX !
En excluant 10 % des cadres (ceux qui gagnent plus de 7 000 € net) ils les obligent à capitaliser dans les banques ou assurances.
  • Le système proposé est plus juste 
FAUX !
La pension sera calculé sur le salaire moyen de carrière : mécaniquement ceux qui ont une carrière ascendante seront encore plus pénalisé
  • Renforcement des solidarités intergénérationnelles 
FAUX !
Les générations qui entreront en activité après 2022 seront les plus pénalisées.
  • Nouvelles garanties pour prendre en compte la pénibilité 
FAUX !
Par exemple, les infirmières en catégorie active partent aujourd’hui 5 ans plus tôt, demain elles partiront que 2 ans plus tôt.
  • La France ne va pas sur la capitalisation des retraites 
FAUX !
En excluant 10 % des cadres (ceux qui gagnent plus de 7 000 € net) ils les obligent à capitaliser dans les banques ou assurances.
  • L’âge moyen de départ en retraite est de 64 ans
FAUX !
Il est de 62 ans (en intégrant la pénibilité et les carrières longues) et 1 salarié sur 2 n’est plus en activité quand il liquide sa retraite.

  • Le niveau des retraites sera garanti 
FAUX !
Elles seront amenées à baisser mécaniquement à cause de la règle d’or. 

 
Selon votre âge
  • Né avant 1975, presque rien ne changera : votre pension sera calculée selon le système actuel. Mais vous pourriez subir, dès 2022, la mise en place de l’âge "d’équilibre" – ou pivot, à 64 ans dans un premier temps. Votre taux de cotisation évoluera jusqu’à 28,12 % (salarial + patronal) si ce n’est pas déjà votre cas.
  • Si vous êtes né entre 1975 et 2004, vous intégrerez le système de retraite universel dès 2025. Vous conserverez alors les droits acquis avec l’ancien système, tout en cumulant des points avec le nouveau. 

Des questions subsistent quant à la conversion « en points » de ces droits. 

L’âge pivot vous concernera dès 2027.

  • Si vous êtes né en 2004 ou après, vous intégrez pleinement le régime universel dès 2022 : taux de cotisation à 28,12 %, retraite à points et âge pivot fixé à 64 ans,selon un système de bonus/malus : pension minorée de 5 % par an avant l’âge pivot, majorée après.
Nous ne pouvons pas  laisser une réforme qui à ce jour ne permets pas a tous et toutes de pouvoir vivre correctement  lors de la retraite venue , d'autant cette réforme met en exergue pleins de problèmes dont le financement des systemes de retraites complémentaires dont il est question.



A SUIVRE  

mercredi 11 décembre 2019

#Actualité Réforme des retraites

TOUTES ET TOUS CONCERNÉS !
  


 Plusieurs pistes pour améliorer notre système :

  • que les années d’études soient prises en compte afin que les futures générations ne soient pas contraintes de partir à 70 ans ;
  • que toutes les formes de travail soient assujetties à cotisations, des employeurs ou donneurs d’ordre, à l’instar des travailleurs de plateformes face aux géants du numérique.
La retraite, ce n’est ni une affaire de spécialistes, ni de techniciens de l’économie. C‘est du concret.

À la CGT, nous croyons au débat, un débat contradictoire qui permet à chacune et chacun de se forger une opinion mais nous sommes également persuadés que pour se faire entendre, la mobilisation s’impose.


A quel âge vais-je pouvoir prendre ma retraite ? Avec combien

Voici les questions que tout le monde se pose et auxquelles il faut apporter des réponses concrètes. 
Nous avons un des meilleurs systèmes de retraite au monde, si ce n’est le meilleur. Pourtant, le président de la République a décidé, par idéologie pure, de l’anéantir. Au nom du marché, on remet en cause le principe de solidarité qui fait la force de la protection sociale en France. 

Tout ce qui touche aux questions sociales, ou à la santé, est désormais considéré comme une dépense qu’il faut réduire.Le projet présenté vise à nous faire tra-vailler plus longtemps, avec une pension aléatoire en fonction d’une valeur de point fluctuante. C’est une gestion indi-vidualisée des retraites visant à opposer les professions entre elles.


lundi 9 décembre 2019

#Grève Unitaire Mobilisation ce Mardi 10 DECEMBRE


MOUVEMENT DE GREVE UNITAIRE  

LE MARDI 10 DECEMBRE


Avec plus de 1,5 million de manifestants répartis sur plus de 250 manifestations, la journée d’action du 5 décembre est une première étape réussie de la mobilisation sociale !
C'est une mobilisation historique à laquelle on a assisté ce jeudi 5 décembre, tant au regard du taux de mobilisation dans chaque grande ville que du niveau de grève dans les entreprises.
Cette mobilisation démontre le refus d’une grande majorité des travailleur·euse·s, mais aussi des retraité·e·e·s et des jeunes, de voir notre système de protection sociale sacrifié sur l’autel du libéralisme économique.
 
 
 
 
LE  PROJET COMPLET (~100 pages) AU FORMAT PDF:  "RAPPORT DELEVOYE"
 
 
 POUR EN SAVOIR PLUS ET COMPRENDRE POURQUOI CE MOUVEMENT :
 
  • De quoi parle-t-on ? Il y a un texte de réforme ou pas ?
  • Qui est impacté ? Seulement les régimes spéciaux ? 

    • 3. 62, 64, 70 ans…A quel âge pourra-t-on partir à la retraite ???
    • Refuser la réforme du gouvernement, c’est vouloir le statut quo ?
    • Comment les cadres sont-ils concernés ?  
    • Le gouvernement dit que sa réforme va avantager les femmes…
    • Le gouvernement dit que sa réforme sera favorable aux carrières hachées, et notamment aux femme

    •  Le gouvernement dit que pour la pénibilité il y a le compte individuel… 
    • Le gouvernement dit qu’il maintient le régime par répartition
        
Il est nécessaire de faire évoluer notre système de retraites pour prendre en compte les années d’études, répondre aux inégalités F/H et permettre des départs anticipés du fait de la pénibilité.  

Pour rétablir la retraite à 60 ans avec 75% du dernier salaire il y a de nombreuses sources de financement et notamment :
  • Une hausse modérée des cotisations suffirait à financer le retour de la retraite à 60 ans. Pour un.e cadre, il faudrait chaque année augmenter la cotisation de 10€/mois (dont 6€ à charge de l’employeur) pendant les 25 prochaines années.
  • La remise en cause des exonérations de cotisations sociales dont bénéficient aujourd’hui les entreprises sans aucune contrepartie en matière d’emploi et de salaire, et qui dépassent maintenant les 60 Mds d’euros. De même, une vraie politique de lutte contre la fraude aux cotisations sociales permettrait de faire rentrer au moins 10 Mds d’euros dans les caisses de la sécurité sociale, comme vient de le démontrer la cour des comptes.
 
POUR RÉPONDRE A CES QUESTIONS  CONSULTER LE DOSSIER COMPLET SUR CETTE PAGE ICI
 

 
 

Mardi 10 Décembre, 11h30, au départ de la place Jean Macé, Lyon 7ème   et toujours au niveau local au plus près de chez vous !






 
 

vendredi 6 décembre 2019

Mouvement Social Unitaire



35 000 A LYON ET PLUS DE 800 000 en FRANCE





Mouvement a suivre unitairement !
Un rassemblement de tous NON CADRE OU CADRE
Avocat
Ordre des Médecins
Pompier 
Policier
PRIVE PUBLIC MÈME COMBAT 

La réforme doit être revue
Nous avons tous le droit a une RÉELLE RETRAITE


 

mercredi 4 décembre 2019

GREVE: RAPPEL DE VOS DROITS - FAITES VOUS PARTIES DES 66%


Dois-je avertir mon employeur avant de faire grève ?



Présentation obligatoire de revendications
Les salariés, souvent par le biais de leurs syndicats, doivent présenter à leur employeur des revendications avant ou au moment de débuter la grève. Ces revendications peuvent être portées à la connaissance de l'employeur par différents moyens : revendications écrites, délégation auprès du responsable des ressources humaines, distribution ou affichage de tracts sur les panneaux dédiés au seins de votre entreprise.

Des revendications de nature professionnelle : les revendications doivent concerner la situation professionnelle, au sens large, des salariés de l'entreprise. Il n'est ainsi pas possible d'avoir des revendications purement politiques (exemple : une grève pour soutenir le candidat x aux élections municipales). 

Par contre, lutter pour la sauvegarde du système de retraite, même si cela englobe une dimension politique, constitue bien une revendication professionnelle.

 
Pas de préavis à déposer

Contrairement à une idée reçue, ni les syndicats ni les salariés du secteur privé ne sont tenus de déposer un préavis de grève avant de se mettre en grève. Ils sont en revanche tenus de présenter des revendications (voir ci-dessus).
Cette erreur souvent commise sur le préavis vient d'une confusion avec le secteur public. En effet, dans ce secteur, les syndicats représentatifs doivent déposer un préavis de grève cinq jours francs avant le commencement de la grève. Attention : ce préavis de cinq jours est également applicable dans les entreprises de droit privé chargées de la gestion d'un service public (exemples : le ramassage des ordures, les ambulances, les établissements d'enseignements privés sous contrat d'association, les entreprises de régie des eaux etc.).
 
Pas d'obligation d'avertir préalablement l'employeur

Une fois les revendications présentées à l'employeur, le salarié individuellement n'a pas à prévenir son employeur de son absence avant de se mettre en grève. Dans la pratique, l'employeur demande au salarié les jours suivant la grève qu'elles étaient les raisons de son absence, et le salarié indique alors qu'il était en grève.
 

Quand puis-je faire grève ?

Vous pouvez vous mettre en grève plusieurs semaines, une journée, une demi-journée, une heure, cinq minutes... Vous pouvez par exemple vous mettre en grève plusieurs fois cinq minutes dans la même journée, ou encore chaque dimanche matin pendant plusieurs mois. Il n'est cependant pas conseillé de multiplier excessivement les arrêts de travail pour ne pas voir la grève qualifiée d'abusive par le juge (lorsque ce morcellement met en péril l'existence de l'entreprise).


En revanche, il n'est pas possible de faire ce que l'on appelle des « grèves d'autosatisfaction ». Exemple : votre employeur veut vous faire travailler le dimanche ou veut vous imposer des heures supplémentaires. Si vous vous mettez en grève le dimanche (ou lors des heures supplémentaires) où vous ne souhaitiez justement pas travailler, cela s'appelle une « grève d'autosatisfaction », car le simple fait de vous mettre en grève a satisfait votre revendication de ne pas travailler ce jour là. Ceci étant, rien n'interdit d'étendre la grève au-delà de la période en question (exemple : grève sur les heures supplémentaires prolongée avant ou après), et/ou de déposer des revendications plus larges (exemple : grève le dimanche pour lutter conte le travail du dimanche et pour une augmentation salariale). Dans ce cas, la grève est possible.

Dans tous les cas, il est important que les salariés qui souhaitent se mettre en grève ne restent pas isolés et se rapprochent des syndicats, dans ou hors de leur entreprise, car il est toujours plus facile pour l'employeur d'exercer des pressions sur des salariés grévistes isolés que sur un ensemble de salariés unis et bien informés.



NOUS SERONS DU MOUVEMENT DONC N’HÉSITEZ PAS NOUS DÉFENDONS LE TRAVAIL DES SALARIES CADRE OU NON 



Source: CGT.FR

lundi 2 décembre 2019

#05 DECEMBRE 2019 - ENSEMBLE POUR NOS ACQUIS CELUI DE NOTRE TRAVAIL


MOUVEMENT DU 05 DÉCEMBRE 2019




En grève le 5 décembre, agissons pour le progrès social !
 

Manifestation à 10h30 au départ de la Manufacture des Tabacs en direction de la Place Bellecour.

 Partout en France, les luttes en cours contestent les choix politiques du Gouvernement, des directions d’entreprises et du patronat.

Augmentations salariales, amélioration des conditions de travail, diminution du temps de travail, maintien et développement de l’emploi, défense des services publics, égalité femmes/hommes, reconquête de l’industrie et de notre protection sociale constituent les principales revendications.
Le gouvernement mène une politique au service exclusif des riches et de la finance.

Sa politique vise la remise en cause des acquis sociaux et des solidarités.
Il met en opposition travailleurs/travailleuses et privé-e-s d’emploi, actifs/actives et retraitée-s, ouvriers/ouvrières ou employé-e-s et cadres, salarié-e-s du public et du privé, celles et ceux qui sont aujourd’hui dans le monde du travail et celles et ceux qui y seront demain…


Malgré un rapport du défenseur des droits qui révèle l’ampleur de la discrimination dans les entreprises et administrations, le pouvoir politique conjugue répression syndicale et atteinte au droit de manifester. 

Il rend possible, voir incite à des situations de discrimination et de répression syndicale dans les entreprises et les administrations.
Il porte atteinte à la démocratie sociale et refuse de répondre aux aspirations exprimées par le monde du travail.

Ce combat est celui de toutes et tous, car ce projet de réforme est l’incarnation d’un choix de société où les solidarités laissent la place au « chacun pour soi », où l’insécurité sociale l’emporterait sur notre sécurité sociale.


LE 05 DECEMBRE 2019 TOUS ENSEMBLE  



mercredi 27 novembre 2019

#Mobilisation - Carte des Mobilisations du 05 Décembre

Carte des mobilisations en France


Des manifestations partout dans le pays… tous les lieux et horaires visibles en un clic !

Le 5 décembre : un moment décisif

Alors que l’appel à manifester et à faire gréve du jeudi 5 décembre s’affirme toujours plus comme un rendez-vous incontournable pour des millions de salarié·e·s et pour que celles et ceux qui ne sont pas inscrit·e·s puissent trouver le lieu où ils pourront manifester, la CGT vous propose cet outil permettant de collecter et de rendre visible en temps réel les rendez-vous.

ENSEMBLE POUR DEFENDRE NOS ACQUIS ET NOTRE AVENIR 






  Accéder a la carte ICI

 

 

lundi 25 novembre 2019

#Reformes - Une autre réforme est possible

Le 5 décembre : une mobilisation pour une autre réforme




Quelques Propositions pour une autre REFORME.
  • Le rétablissement à 60 ans de l’âge d’ouverture du droit à retraite, avec une pension d’au minimum 75 % net du salaire net de fin de carrière, pour toute carrière complète.
  • La validation des années d’études supérieures et des périodes d’inactivité subies pour le calcul de la retraite
  • L’augmentation des ressources affectées au financement des retraites :
    -- En augmentant modérément les cotisations retraites  de 0,16 % de la part salariale des cotisations et de 0,24 % de la part patronale suffirait à dégager le financement nécessaire pour rétablir la retraite à 60 ans : soit pour un salarié gagnant 2500 euros brut par mois, 10 euros de cotisation mensuelle supplémentaire dont 6 euros payés par l’employeur...
    -- En réalisant l’égalité salariale femmes/hommes
    -- En supprimant les aides à l’emploi et les exonérations de cotisation inefficaces contre le chômage et en mettant à contribution les revenus financiers des entreprises qui, au contraire des revenus financiers des particuliers, sont totalement exonérés.


    Bonne Semaine a tous et toutes et n'hésitez pas a nous suivre ! 

jeudi 21 novembre 2019

Télétravail: le saviez-vous ?

Télétravail : qui sont les collaborateurs concernés en France ?


Le télétravail concerne t-il plus souvent les urbains ou les ruraux, les hommes ou les femmes ? La situation familiale influe-t-elle sur cette pratique ? Tous les secteurs d’activités sont-ils également concernés ? Une étude publiée le 4 novembre par la Dares analyse les données Insee de 2017 et nous informe sur la sociologie du télétravailleur. Selon ces chiffres repris et mis en infographie par ActuEL RH, seuls 3 % des actifs français télétravaillent au moins une fois par semaine. Toutes pratiques cumulées (télétravail occasionnel et récurrent), ce sont seulement 7 % des actifs qui sont concernés. Si les évolutions techniques permettent plus de mobilité et fluidifient la communication entre collaborateurs, il semble que l’évolution des cultures d’entreprise ne permette pas (encore ?) d’en tirer pleinement parti. 


La pratique du télétravail est plus répandue à Paris :

  • 14 % des cadres pratiquent le télétravail en Île-de-France ;
  • 10 % dans le reste de l’Hexagone.

L’encombrement et les difficultés de certaines lignes de transport en commun bien connu en Île-de-France jouent sûrement un rôle dans cet écart. D’ailleurs, certains groupes de plus de 35 000 salariés situés à La Défense agissent dans ce sens et communiquent sur le sujet pour répondre notamment à des problématiques de RSE.

Quand il est pratiqué, le télétravail consiste généralement à passer une journée par semaine en home office (45,3 % des actifs) de façon régulière ou ponctuelle. Les actifs qui le pratiquent plus souvent de façon récurrente sont ceux avec au moins un enfant de moins de dix ans. C’est le cas pour 23 % d’entre eux. Les salariés sans enfants ne sont que 7,9 % à télétravailler régulièrement.

La distance entre le domicile et le lieu de travail est un facteur important puisque les collaborateurs qui habitent :

  • à moins de 5 km sont 1,8 % à télétravailler ;
  • de 5 à 50 km sont 3,5 % à télétravailler ;
  • à plus de 50 km sont 9 % à télétravailler.


Des chiffres qui témoignent de la volonté des entreprises de favoriser l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle de leurs collaborateurs.


Télétravailleurs, le profil-type

Il y a plutôt un équilibre dans les pratiques entre hommes (53 %) et femmes (47 %).

Plus l’entreprise est grande, plus le télétravail est pratiqué. La part des entreprises qui ont mis en place le télétravail selon leur taille :

  • 38,2 % pour les entreprises de plus de 500 salariés ;
  • 23,6 % pour les entreprises de 250 à 499 salariés ;
  • 18,7 % pour les entreprises de 50 à 249 salariés.

Enfin, c’est dans le secteur de l’information et des télécommunications que la pratique est la plus répandue.


Et vous que pensez-vous de l'application actuelle ? 
En effet après la signature de l'accord il reste des éléments anormales en l'état comme la prise en compte du coup de votre assurance pour permettre l'application dans notre entreprise , de plus tous le monde n'utilise pas le même mode de téléTravail , (Forfait ou fixe; interdiction le lundi et le vendredi  ...).

Une application qui ne sera pas disponible pour tous de suite... , Est-ce cela l'équité de traitement pour tous ?

Alors que le télétravail INFORMEL est lui bien encré depuis plusieurs années dans notre entreprise....est-ce selon vous normale ?

Source : ActuEL RH
 

mercredi 20 novembre 2019

#Actualité: Réforme des Retraites Le 05 DECEMBRE


64 % des Français approuvent la mobilisation contre la réforme des retraites à la veille de la grande journée de mobilisation lancée à l'appel de plusieurs syndicats, dont la CGT, le 5 décembre. C'est ce que révélait une enquête Elabe du 7 novembre.




Les Français sont 64 % à approuver la mobilisation contre la réforme des retraites du 5 décembre. 

Lancée à l'appel de la CGT, FO, FSU, Solidaires, FIDL, MNL, UNL, UNEF… cette « première journée de grève interprofessionnelle » est soutenue par 37 % d'entre eux et suscite la sympathie de 27 %. Elle est spécialement approuvée par les catégories sociales populaires (74 %) et les salariés du secteur public (78 %).

Les Français opposés à la réforme de plus en plus nombreux

Une majorité relative, mais croissante de Français est opposée à la réforme des retraites prévue par Emmanuel Macron et le gouvernement d'Édouard Philippe : 47 % y sont opposés (+4 points par rapport à l'étude Elabe pour BFMTV du 3 octobre 2019), 29 % y sont favorables (-3) et 23 % ni favorables, ni opposés (-1).
Dans le détail, 26 % y sont très opposés, 21 % assez opposés, 22 % assez favorables, 7 % très favorables, 23 % n'y sont ni favorables, ni opposés et 1 % ne se prononcent pas sur la réforme.
Par rapport à début octobre, c'est chez les 25-34 ans et les 35-49 ans que l'on observe la plus forte baisse du soutien à la réforme (respectivement 21 % favorable -12 points, et 20 % favorables -12) en faveur d'une hausse de l'opposition (respectivement 48 % opposé +12, et 58 % opposé +14).

La seconde plus forte baisse du soutien à la réforme s'exprime chez les catégories sociales populaires (19 % favorable, -10) qui voient leur opposition augmenter (55 %, +7).

Plus d'un Français sur trois prêt à se mobiliser

Plus d'un tiers des Français se déclarent prêts à se mobiliser contre la réforme des retraites dans cette enquête. 37 % des Français déclarent être prêts à se mobiliser dans les semaines à venir contre la réforme des retraites (11 % certainement et 26 % probablement) et 62 % déclarent ne pas être prêts à se mobiliser (28 % certainement pas et 34 % probablement pas).

Le potentiel de mobilisation est plus important au sein des principales classes d'âge d'actifs : 44 % chez les 50-64 ans, 41 % chez les 35-49 ans et 41 % chez les 25-34 ans. Même constat parmi les classes moyennes et populaires : 47 % chez les professions intermédiaires, 45 % chez les employés et 44 % chez les ouvriers ; alors que seulement 31 % des cadres se déclarent prêts à se mobiliser. Enfin, la majorité des salariés du secteur public (59 %) se déclarent prêts à se mobiliser.

Enfin, au moment où le mouvement des Gilets jaunes appelle à rejoindre cette journée de mobilisation interprofessionnelle lancée à l'appel des syndicats, 66 % des Français considèrent que le 5 décembre sera le début d'un mouvement social de grande ampleur (20 % certainement et 46 % probablement).

Et vous y serez vous?

 Le 05 DECEMBRE 2019 ENSEMBLE 

Source: NVO Novembre 2019

vendredi 15 novembre 2019

#Actualité: Offre d'emplois en hausse



Selon les prévisions d'Adecco, les embauches devraient augmenter de 3,5% par rapport à l'année précédente, ce qui devrait faire chuter le taux de chômage en dessous de 8%. Mais aussi créer de fortes tensions dans certains secteurs.
Le marché de l'emploi continue à se redresser. Selon la dernière édition du baromètre "Data Emploi et Territoires" édité par le groupe Adecco près de 3,7 millions de recrutements en France sont prévus de juillet 2019 à juin 2020. C'est 3,5% de plus que lors du précédent baromètre.
"Le pays a un potentiel d'emplois suffisants pour faire baisser le chômage à 8%", affirme Christophe Catoir, président général d'Adecco au Parisien.
Mais cette perspective suscite néanmoins quelques inquiétudes. Les entreprises pourraient en effet affronter des difficultés pour trouver preneur pour ces postes. Le secteur du bâtiment est celui qui devrait affronter la pénurie la plus forte. Les prévisions d'embauches s'élèvent à 376.500 postes, soit une progression de 6% sur les douze derniers mois. Or le taux de pénurie s'établit à 65%.

De bonnes nouvelles mais hélas l'expertise dernièrement pratiquée démontre un non remplacement des absents et un recours massif aux contrats courts , n'y a t'il pas des points à revoir en Interne? 

Nous attendons de voir quelle sera l'impact de cette annonce en interne, car beaucoup de salariés sont en attentes soit de stabilités , soit de support dans leurs tâches quotidiennes.

N'oublions pas les chiffres de l'INSEE qui viennent d'être publiés:

Le taux de chômage a augmenté de 0,1 point au troisième trimestre pour s'établir à 8,6% de la population active en France entière (hors Mayotte), selon les chiffres publiés par l'Insee jeudi. La France compte 2,528 millions de chômeurs, soit 10.000 de plus sur le trimestre. 

Sur un an, le taux de chômage, mesuré selon les normes du Bureau international du travail (BIT), est en recul de 0,5 point. En France métropolitaine seule, le taux augmente également de 0,1 point pour s'établir à 8,3%.


Source: https://www.bfmtv.com/economie/plus-de-36-millions-d-embauches-attendues-entre-juillet-2019-et-juin-2020-1804518.html et le parisien.

mercredi 13 novembre 2019

# Revendications Ensemble le 05 Décembre 2019





Les organisations syndicales CGT, FO, SOLIDAIRES et les organisations de jeunesse FIDL, MNL, UNL, UNEF appellent à la grève généralisée et reconductible contre le projet de réforme de retraites par points et pour gagner un renforcement, une amélioration du système actuel de retraites solidaire et intergénérationnel.

La CGT appelle l’ensemble des travailleurs/travailleuses intérimaires et permanent.e.s à se mobiliser partout en France, par la grève, la mobilisation et la participation aux manifestations, le 5 décembre prochain.

D’ici le 5 décembre, la CGT appelle à poursuivre la construction de l’action par la tenue d’Assemblées Générales dans les entreprises, les services publics et les administrations, pour que les salarié.e.s et agent.e.s décident, sur la base de leurs revendications et dans l’unité, des modalités des actions, de la grève, de sa reconduction pour un mouvement qui s’inscrit dans la durée afin de gagner le progrès social.

La convergence des mobilisations sociales est une nécessité pour gagner sur les revendications. Elle doit se faire avec toutes les organisations syndicales qui portent cette même aspiration ainsi qu’avec l’ensemble des forces politiques de progrès, le monde associatif et les mouvements citoyens, à l’instar de l’appel à la convergence des Gilets Jaunes dans leur déclaration du 3 novembre dernier.
Les ingrédients sont réunis pour réussir un grand 5 décembre, ce qui donnera le ton des suites de la mobilisation.

Les mobilisations et grèves du 5 décembre porteront l’exigence du rejet « en bloc » du projet gouvernemental de réforme des retraites qui impactera fortement, durablement et négativement le niveau des pensions de toutes et tous.

La CGT se bat pour une autre réforme des retraites et porte un ensemble de revendications, notamment : un départ à taux plein à 60 ans, une prise en compte des pénibilités, des années d’études et de précarité, une augmentation générale des pensions…


ENSEMBLE C'EST POSSIBLE