mercredi 25 novembre 2015

ODJ CE NOVEMBRE 2015

ODJ CE NOVEMBRE 2015

 Parce que nous ne devons pas baisser les bras et nous rassembler !

 


Voici les questions que nous souhaitons voir traitées lors du CE de Novembre 2015  
 
 ORIENTATION FORMATION:
    •  Question : Merci de nous mettre à disposition la répartition par niveau sur l’utilisation des formations ; ces éléments n’étant pas à disposition du Comité d’Entreprise. 
  • Obtenir le % utilisé par formation pour avoir un suivit année après Année  par niveau. Commentaire : rappel un expert peux être nommé sur cet élément « L2325-26 CT ». (A Savoir : toutes les formations utilisées dans le cadre du CPF doivent être qualifiantes et diplômantes). 
    • Question : Quel est le taux de participation du financement à ce jour reversé à L’OPCA ou l’OPACIF dans le plan de formation ?
NÉGOCIATION ANCIENNETÉ   
    • Ou en sommes –nous des négociations ? Et quels sont les éléments proposés par la direction aux O.S présentent  aux négociations ? 
LANGUES APPLICABLE :
    • Concernant les entretiens Annuels en Anglais pour certains. Ou retour GPTW en Anglais… Les  Communications et échangent d’équipe présentent en France qui sont de surcroîts française et continuent à envoyer des éléments constitutifs à des équipe basées en France en anglais et provoquant par conséquence des dysfonctionnements de compréhensions dans le travail.
      Question : que compte faire l’entreprise pour résoudre ce type de problème ?
Base de Donnée Économique Et Sociale :  
    • Question : A ce jour la BDES n’inclut pas les éléments concernant l’orientation stratégique quand ces éléments seront ‘ils communiqués ? 
    • Question : les éléments dans la BDES n’incluent par exemple pas le pourcentage de la masse salariale par niveau de l’utilisation du plan de formation prévue par la loi du 05/03/2014, qu’en  comptez-vous nous mettre ces éléments à disposition ?    
    •  Rappel des éléments obligatoires : L2323-7-2 et R2323-1-2  permettant de statuer et qui reste à remettre à l’ensemble des élus.  
REPORT DE QUESTION : INTÉGRATION DES ENTRETIENS IM   
    • Question : Par quels moyens ou OUTILS et sur quelle base de documents  les éléments seront-ils remontés ?  Pouvons-nous obtenir une présentation des différents documents utilisés par les responsables informatiques ?  
      ADELY :  Question : pas de  compléments d’informations concernant une date de mise à disposition du micro-zoning pour les salariés de l’informatique ?
Suivit ACCORD DE CLASSIFICATION : "pour lequel nous ne pouvons que regretter le type d'application"...
    • Questions:
      • Combien de recours en totalité ? 
      • Combien de recours ont continué après la mise à jour des fiches de poste ? 
      • Combien de poste ont vu leur niveau modifié suite à la mise à jours des fiches de postes ? (si possible un détail par service ou a minima par niveau et type d’emploi). -
      • Combien de recours ont été acceptés? - Combien de recours ont été refusés? 
      •  Combien de recours reste t’il a traiter? 
      • Y a-t-il eu  ou y aura-t-il des réajustements de salaires suite à ces recours ?   
A suivre donc , nous continuerons a appliquer nos valeurs  pour le bien et l'amélioration des conditions de travail pour tous et toutes ! 

Nous sommes LIBRE ET LE RESTERONS !

mardi 17 novembre 2015

Dossier Code du Travail : mais que pense la CGT ?

CODE DU TRAVAIL:  Concernant la refonte mais que pense la CGT ?



Le gouvernement et le patronat comptent donc sur de fidèles serviteurs. Après avoir sévi dans la fonction publique en menant la guerre contre les inspecteurs du travail, COMBREXELLE "et son rapport" se réjouit du soutien de la CFDT, qui estime que le Code du travail doit être simplifié et revu pour facilité la compétitivité des entreprises. 

La CGT: Protéger plutôt qu’affaiblir
Face à la complexité évoquée du Code du Travail « il convient de le refonder », a déclaré le 04 novembre, Manuel Valls avec l’objectif de rendre les entreprises plus compétitives tout en protégeant les salariés.

Aux grands maux, mauvais remèdes 
Un projet de loi « élaboré dans le dialogue avec les partenaires sociaux » sera présenté… début 2016. Quid du contenu et de la forme ? Pas de précision à ce sujet. L’objectif est donc clair : définir un socle de droits minimums (SMIC, congés payés, durée légale du travail) et renvoyer tout le reste aux accords de branches ou d’entreprises avec y compris possibilité de déroger au socle minimum.
Le but n’est pas de « simplifier, négocier, et sécuriser » mais bien de simplifier, déroger et d’affaiblir les droits des salariés. Comme si rendre plus simples les licenciements favorisait l’emploi. Bien que le Premier ministre s’en défende, c’est bien du renversement de la hiérarchie des normes dont il s’agit.
 
La captation des richesses produites par le travail est la véritable cause des piètres résultats économiques et de l’augmentation du chômage. Le code du travail n’a été alourdi que par les dérogations successives demandées par le patronat.

Rendre le code du travail protecteur
 
Il ne peut être question de réduire le code du travail à une sorte de déclaration de principes ou de droits fondamentaux. Il faut faire progresser le droit du travail pour répondre aux nombreux défis actuels (éclatement des collectivités de travail, « uberisation » et essaimage, travail précaire,…Ce que nous voulons c’est un État qui crée les conditions d’une vraie négociation sociale porteuse d’une autre ambition qu’une feuille de route soumise aux exigences du Medef. 
Toutes les dispositions prises depuis de nombreuses années et prolongées par les nouvelles annonces ministérielles sur la réforme du droit du travail visent à remplacer la loi par l’accord au détriment des salariés.

Cette prise de position casse le code du travail qui est à l’origine un « socle de garanties républicaines » visant à protéger le salarié, partie faible du contrat de travail;le droit du travail est relégué en entreprise où le patronat met sous pression les salariés par le déséquilibre inhérent au lien de subordination et par le chantage à l’emploi. 
Si l’on pousse au bout cette logique, la loi ne protège plus. L’inspection du travail aurait encore plus de difficulté à intervenir. 
La CGT entend être force de propositions à toutes négociations concernant les salariés. 
Encore faut-il que les thèmes de la négociation soient décidés par les différentes parties amenées à négocier et non sous la conduite des intérêts financiers immédiats du patronat. 
La CGT est porteuse d’une autre conception de la négociation qui doit être loyale et respectueuse avec une obligation de résultats et porteuse de progrès social. La négociation doit être aussi engagée sur la base des exigences issues des salariés qui sont les producteurs de la richesse en entreprise.

Conventions collectives : les vrais leviers d’améliorations 
Les organisations syndicales tirent leur légitimité du vote des salariés aux élections professionnelles. Le droit à la négociation est conçu pour les salariés et leurs représentants, il leur appartient. Ce droit ne doit pas être détourné par les employeurs de son objectif d’avancées sociales pour les salariés. 
Les conventions collectives de branches sont les vrais leviers de l’amélioration des garanties et ont un rôle irremplaçable.
C’est en effet le lieu où peuvent être améliorés tous les éléments, salariaux ou non :  réelle grille de salaires et de classifications honnête et impartiale, droits sociaux, protection sociale, parcours de formation, … 
savez-vous que plus de 90 % des salariés sont couverts par de telles conventions; c’est pourquoi le champ conventionnel doit être déterminé par un socle de droits garanti aux salariés. 
La CGT est favorable à toutes négociations qui amélioreraient ces droits. sans aucun tabou sur le nombre de conventions collectives nécessaires., celle-ci n'est pas sans propositions quant à l’éventualité de regrouper des branches de manière cohérente dans un certain nombre de filières. Mais encore faut-il que ces regroupements s’appuient sur un contenu protecteur pour les salariés.

Alors RÉAGISSONS ENSEMBLE UNE AUTRE VISION EST POSSIBLE 

A suivre prochainement mais ne nous trompons pas qu'en au désidérata du medef ! 

lundi 16 novembre 2015

INFOS




INFOS MINUTES
une minute de silence sera observée lundi 16/11 à midi en hommage aux victimes des attaques. "L'ensemble de nos concitoyens doit pouvoir se joindre à cet hommage. Les employeurs ont été invités à permettre à leurs salariés d'y participer", a indiqué une circulaire signée samedi 14 par le Premier ministre, Manuel Valls.

jeudi 12 novembre 2015

Arbre de Noel ..une bonne nouvelle..




Vous avez tout comme nous réceptionné une information concernant la mise en place d'un Arbre de Noël ...une annonce qui pourrait être sympathique mais une fois de plus.... 

On nous annonce un arbre de Noël pour la première fois depuis 15 ans une bonne nouvelle Oui Mais....

  • Pourquoi une fois de plus une différence d'application entre les salariés de Lyon et de Paris ? 
  • Pourquoi uniquement a destination des salariés avec enfant ? 
  • Pourquoi cette manifestation ne serait elle pas gérée par le Comité d'Entreprise ? 

Voilà on ne peux qu’apprécier cette proposition mais pourquoi alors ne pas éviter encore une fois une différence de traitement ? 
  • Et vous qu'en pensez-vous ? 
Bon soyons positifs; nous aurons tous surement une bonne nouvelle et une hausse générale des salaires permettant ainsi a tous le monde de se retrouver et de faire une pose sur notre temps de travail que l'on soit Lyonnais ou Parisien ;)

lundi 9 novembre 2015

Publication des résultats: Résultat Bon mais avec réserves...


RESULTAT GROUPE ADECCO : « source reuters»

 

 

 




Le chiffre d'affaires d'Adecco a progressé de 4% en données organiques sur le trimestre juillet-septembre à 5,673 milliards d'euros, une croissance conforme à celle enregistrée aux deux premiers trimestres de l'année.

Paradoxe : l’annonce : une perte nette de 513 mlns contre un bénéfice attendu à 223 mlns
Chiffre d'affaires en hausse de 4% à 5,673 milliards
Objectif de marge d'Ebita 2015 ramené de 5,5% à 5,2% «
après déclaration du DG »

Mr Dehaze a annoncé :   "Au deuxième semestre 2015, la croissance organique de notre chiffre d'affaires reste stable mais n'accélère pas suffisamment pour atteindre l'objectif de marge d'Ebita initialement prévue", a déclaré le directeur général, Alain Dehaze.

La perte nette, elle, tranche avec les estimations des analystes financiers, qui donnaient en moyenne un bénéfice de 223 millions pour le troisième trimestre. Notre DG s'attend en outre pour 2016 à une marge similaire à celle désormais attendue pour 2015.
A suivre de prêt mais espérons que ces effets d’annonce ne soit pas encore une excuse pour ne pas voir accorder une hausse des salaires !



Bon début de semaine a tous et toutes !

Bon à savoir :Les entreprises ont généralement recours à l'intérim en début de reprise pour réduire leurs effectifs temporaires lorsque les perspectives d'activité commencent à se dégrader.
Source des données : Reuters - Novembre 2015