AUREVOIR 2018
lundi 31 décembre 2018
mercredi 26 décembre 2018
#Cado de Noel Exemple a suivre
Pour certains salariés , le Père Noël 2018 a été sympathique.
Encore un exemple a suivre ...
Source: LeProgrès.fr - Décembre 2018
Une idée que certaines société après l'annonce faite par notre gouvernement devrait suivre pour le bien de tous et pour notre société et pour nous salariés d'un grand groupe internationale ??? ......
Encore un exemple a suivre ...
mardi 25 décembre 2018
lundi 24 décembre 2018
jeudi 20 décembre 2018
#Actualité- NAO - Réponses aux questions
- CICE: après 05 ans d'applications quel résultat?
- NAO ( Négociations Annuelles Obligatoires)
- Quel résultat?
Notre Entreprise a bénéficié de ce système qui n'a pas été utilisé comme nous aurions put l’espérer et surtout comme il avait été initialement prévu.
Nous ne pouvons cautionner cet usage, n'oublions pas que ce sont nos emplois qui en pâtissent..et notre avenir a tous !
En vue des annonces faites par le gouvernement après le mouvement social, nous avons ouvertement posé la question, la réponse faite n'est hélas pas a nous satisfaire.
Il faudrait donc attendre la publication des textes sur 2019
pour que nous puissions éventuellement toucher une prime..sans qu'un coup de pouce ne soit confirmé....
Alors que des groupes comme ILIAD ,ALTICE, TOTAL... ont été en capacités de publier et de propager une communication positive en annonçant dès le lendemain de l'annonce la reversion d'une prime exceptionnelle, nous resterons sur notre faim.
Ceci après l'annonce faite sur des NAO qui une fois de plus ne sont pas rassurantes; le seul axe donné aux NAO étant encore et toujours une revalorisation individuelle, sans prendre en compte ce que le mouvement sociale actuel a fait ressortir; a savoir que nous avons toujours plus de mal pour vivre correctement de notre travail et que la non politique de revalorisation ne fait qu'accroitre la précarité des salariés .
Le recourt à des sociétés de prestations en "offshores" font partie de ce système qui annonce des jours difficiles.
Ceci ne doit pas être une fatalité ,notre entreprise a les moyens de répartir équitablement les richesses et d'appliquer une politique équitable qui met en valeurs les salariés permanents de l'entreprise.
Ceci est une obligation pour l'avenir de tous et toutes !
N'oubliez pas qu'ensemble tout devient possible !
Notre travail doit pouvoir nous faire bénéficier d'une réelle équité de traitement et d'une réversion en prenant en compte les bas salaires en priorités.
A suivre
mercredi 19 décembre 2018
#Comité d'entreprise - Decembre 2018 -Croire en Noel ?
Actualité - Position de la CGT - ( Source: CGT-18 Décembre 2018)
Pour la CGT, les revendications auxquelles
il faut répondre, pour « un état d’urgence économique et social », sont
: l’augmentation immédiate du Smic à 1 800 euros, l’augmentation
généralisée des salaires, des pensions, du point d’indice dans la
fonction publique, plus de justice fiscale, le rétablissement de l’impôt
sur la fortune, l’exigence des négociations sur les salaires dans les
entreprises, des services publics qui répondent aux besoins, la relance
de la politique industrielle.
Les mesures annoncées par Macron ne
répondent en rien à l’urgence sociale : plus de 8 millions de personnes
vivent en dessous du seuil de pauvreté, et ce ne sont pas quelques euros
qui vont leur changer la vie.
Les salariés ne demandent pas l’aumône
mais une réelle reconnaissance de leur travail. Les privés d’emploi et
les précaires subissent les choix désastreux du patronat.
Une vraie reconnaissance du travail,
c’est prendre aussi en compte ceux qui ont travaillés toute leur vie et
créés des richesses du fait de leur travail.
Or, l’annulation de l’augmentation de la
CSG pour les retraités touchant moins de 2 000 euros de retraite pour
l’année 2019, est un simulacre de réponse.
La prime exceptionnelle : elle est au «
bon vouloir ». En réalité, beaucoup de salariés n’en verront pas la
couleur et, cerise sur le gâteau, les entreprises qui le font déjà
bénéficieront d’un effet d’aubaine par une exonération de cotisations
sociales compensée financièrement par les salariés.
Macron continue sa politique libérale, ne
demande rien au patronat et met en danger la Sécurité sociale en
désocialisant les heures supplémentaires.
La France est le pays où les grands
patrons ont eu une augmentation de salaire de 10 % en 2017, atteignant
en moyenne plus de 3,8 millions d’euros par an.
Sans vouloir, aujourd’hui, revenir sur
les 200 milliards d’euros de cadeaux fiscaux donnés au patronat et
notamment les grandes entreprises, l’équilibre budgétaire se traduira
par la double peine pour les salariés :
ils paieront encore plus d’impôts à la place des entreprises et des dividendes versés aux actionnaires ;
La réduction de la dépense publique se
traduira par la dégradation des services publics, encore moins présents
et aggravant les inégalités territoriales et sociales.
Pour la CGT, l’heure est à la mobilisation pour :
- Pour l’égalité salariale, il est inacceptable que les femmes perçoivent 25 % de moins que les hommes ;
- Pour le rétablissement de l’impôt sur la fortune et un impôt progressif.
- Pour une réelle revalorisation des salaires car depuis plusieurs années la politique appliquée par notre employeur n'est tout simplement pas acceptable ni équitable, elle ne prend pas en compte les bas salaires , notre fiche de paie à la fin du mois pour une majorité de salariés est un exemple bien concret.
Après le discourt de notre président ,
- Comment notre entreprise réagira t'elle ?
Que pense t'elle faire ?
Quelle position a t'elle?Sans croire à l'effet NOËL nous avons ouvertement posé la question et attendons la réponse lors du C.E qui aura lieu en ce Mercredi 19 Décembre 2018 .Bonne Journée a tous !
lundi 17 décembre 2018
#Open Space le début de la fin
Sondage du jour - Open Space alors?? ....
Selon une étude de la chaire « Workplace Management » de l’ESSEC, le
bureau classique, individuel et fermé, semble être de retour dans les
préférences des étudiants. Les modes de travail « modernes » tels que le
flex-office ou le co-working, qui semblent pourtant avoir le vent en
poupe, n’attirent finalement que peu de futurs managers.
L’open space n’a plus la cote, les salariés pointant en particulier du doigt son inconfort acoustique et physique.
De son côté, si le flex office, qui consiste en l’absence
de bureau attitré sur le lieu de travail, est en vogue dans un nombre
croissant d’entreprises, il est aussi critiqué pour les risques qu’il sous-tend pour le bien-être des salariés, entre déshumanisation et absence d’appropriation de l’espace.
Une récente enquête effectuée par la toute nouvelle Chaire « Workplace Management » de l’ESSEC vient conforter ces critiques. Baptisée « Mon bureau de demain », cette étude
s’intéresse à « la façon dont les étudiants des grandes écoles de
management imaginent leur bureau de demain ». Selon elle, 40% des jeunes
sondés estiment que l’espace de travail sera déterminant dans le choix
de leur futur employeur. Mais ils sont aussi 57 % à préférer un bureau
fermé (individuel ou partagé), contre seulement 26% pour l’open space et
8 % pour le flex-office. En outre, seuls 6 % des étudiants aimeraient
travailler de chez eux en télétravail (« home office »).
“8 étudiants sur 10 restent très fortement attachés au bureau attitré”
Concernant plus précisément le flex office, 83 % des futurs managers
estiment « important d’avoir un bureau attitré », et 50 % de ceux
l’ayant déjà expérimenté durant leur expérience professionnelle ne
veulent pas réitérer l’expérience. À noter que le co-working (travail en
dehors de l’entreprise sans bureau attitré) n’intéresse que 3 % d’entre
eux, et 30 % y sont totalement opposés.
« Notre enquête nous montre que 8 étudiants sur 10 restent très
fortement attachés au bureau attitré. Et ils sont 44 % à penser que
l’aménagement des bureaux doit refléter l’organisation hiérarchique.
C’est une tendance en hausse de 7 points par rapport à l’édition précédente de Mon bureau de demain
(2016). Ainsi, si le bureau classique semble avoir vécu, le bureau en
tant que le lieu physique fixe et toujours disponible, où venir
travailler, a encore de beaux jours devant lui. L’idée d’une
généralisation du nomadisme, marquant la fin des postes attribués, est
encore loin d’emporter l’adhésion ! », écrit Ingrid Nappi-Choulet, professeur de management à l’Essec, sur son compte LinkedIn.
“Le luxe est de pouvoir choisir”
Comment expliquer l’envie d’un bureau à l’ancienne ? Interviewée par LCI.fr,
l’enseignante-chercheuse explique que « le bureau est perçu comme un
endroit pour créer des liens et interagir avec les collègues. Pour les
étudiants, le bureau attitré marque aussi l’appartenance à l’entreprise
et au groupe : ils ont besoin de ce repère pour se projeter dans
l’entreprise ».
Véronique Bédague, PDG de Nexity Immobilier d’Entreprise,
mécène de l’étude de l’ESSEC, indique pour sa part que les résultats de
cette étude permettent de tirer plusieurs enseignements : « Il n’y aura
pas de disparition du bureau classique – nous misons sur 20 % d’espaces
partagés. Quant aux modes de travail, il ne suffit pas de rassembler
les collaborateurs dans des espaces ouverts pour en faire des
collaborateurs heureux. Nous redevenons des nomades et souhaitons avoir
accès à plusieurs types de lieux pour plusieurs types d’usages.
L’hybridation des lieux de travail est une solution pour un immobilier
plus souple qui mixe les espaces de travail/vie selon les usages. Le
luxe est de pouvoir choisir ! » Comme alternative, certains prônent
justement les vertus de “l’activity based office”. Un environnement de travail à la carte, que les salariés, par équipe, peuvent concevoir eux-mêmes, selon leurs besoins.
- Et vous que pensez-vous de cet open Space a la mode 2018 ??? (ou comment je fais rentrer plus de personnes dans moins d'espace ?).....
- Cet "Open Space" serait il anti-productif et pas si Open que cela ? .....
- Pourquoi certains bureaux sont 'ils toujours fermés ; est-ce juste du à la confidentialité des échanges ? n'est-ce pas du confort pour certains ?
- Quid de la qualité de vie dans ces environnements tant décriés ?
Nous connaissons tous et toutes la réponse car nous vivons sont application !
jeudi 13 décembre 2018
#Manifestation et Greve du 14 Décembre
SE FAIRE ENTENDRE PACIFIQUEMENT est le mot d'ordre
A l'appel de plusieurs syndicat rendez-vous pour défiler ENSEMBLE et faire valoir vos droits !
Les mesures annoncées ne sont pas suffisantes et ne toucheront malheureusement pas la majorité des salariés très proches des minimas sociaux !!!
De plus croyez vous que nous aurons le droit a une prime "coup de pouce" Exceptionnelle comme demandé par notre président ?
Salariés CADRE/NON CADRE tous ENSEMBLE
La GREVE est un droit prenez le pour votre avenir !
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